Akira Toriyama et les jeux vidéo

Aimé et détesté à des parties égales, Akira Toriyama est allé sur plusieurs synonyme d'une manche et animez pendant quelques années, grâce à la popularité immense de sa série “Dragon Ball“. Cependant, ce japonais quinquagénaire a créé beaucoup d'autres oeuvres le long de sa vie, et depuis assez de temps il a aussi participé au dessin de personnages de quelques jeux vidéo, certains d'entre eux avec un impact mediático encore plus grand que la série qu'il a faite connaître par ces foyers.

Dans cet article, je vais me concentrer au travail de l'auteur relatif à cette industrie - une révision à toute son oeuvre est une folie - dans des valeurs créés à partir de ses oeuvres, et dans sa participation dans des jeux d'autres compagnies.

Des jeux basés sur des oeuvres d'Akira Toriyama Dr. Slump

Les aventures de Senbei Norimaki, Laboure-le et autres personnages de Ville le Pingouin, ont fait que le talent Akira Toriyama était reconnu dans son pays d'origine. À un aujourd'hui, continue de me paraître l'une de ses meilleures oeuvres, avec un sens de l'humour réellement spécial. L'adaptation qui a été faite pour PlayStation n'a pas été aucune merveille - et il serait sûrement resté bien meilleur dans 2D - mais il s'est trouvé un jeu de rôle assez arrangé pour les fans de la série.

Par la suite, Laboure-le il a distribué une tige dans “Jump Super Stars” et “Jump Ultimate Stars” pour Nintendo DS, et il a recommencé à jouer le rôle principal dans un jeu il y a un an et demi dans cela portatif. Le mauvais consiste en ce que si n'arrive pas un miracle, il restera aussi dans des terres nipponnes.

Un dragon Ball

Il fait un temps j'ai essayé de faire une série d'articles sur des jeux basés sur l'univers “le Dragon Ball“ … mais j'ai renoncé après avoir vu qu'il y avait des dizaines d'eux. Et c'est que le filon emporte en explosant depuis plus de deux décennies, avec les jeux qui vont depuis la lutte 2D, jusqu'à un MMORPG, en passant par d'autres genres pour les batailles de lettres, ou le rôle japonais. Cependant, si j'avais à rester avec un seul, sans doute ce, il serait “, le Dragon Ball : Advanced Adventure” de Game Boy Advance, le jeu très précieux dans lequel nous distribuons une étoupe avec Goku à quelques niveaux ambientados dans la première - et mieux - une époque de la série.

D'un autre côté, il y a quelques valeurs curieux, comme “le Dragon Ball Z : Gekitō Tenkaichi Budokai“, un jeu pour Famicom qui faisait un usage d'un lecteur propre similaire de codes à barres au Barcode Battler :

“ Un dragon Ball Z : Atsumare! Gokū Wārudo ”était une autre invention étrangère, puisqu'il s'agissait d'une cassette vidéo VHS et d'une espèce de téléphone nommé Terebikko, qui nous permettait de répondre aux questions qu'il nous proposait“ le jeu “.

Go! Go! Ackman

Cette série jouée le rôle principal par un petit démon clavadito, a eu trois remises publiées dans Super Famicom envers Trunks, et l'autre pour Game Boy. Ceux de la grande console étaient jeux de plate-formes avec beaucoup de doses d'humeur, avec quelque plaisanterie sexuelle incluse.

En ce qui concerne la version portative, il s'agissait d'une espèce de copie de “Pac-man“ … resultona mais oubliable

Des jeux avec personnages dessinés par Akira Toriyama Dragon Quest

Cette saga de jeux vidéo est peut-être la plus populaire au Japon, quelque chose que l'on peut facilement déduire au savoir que le gouvernement Japonais a obligé Enix - maintenant Square Enix - à que chaque nouvelle remise pouvait être publiée seulement dans le Dimanche, pour que les gens ne manquassent pas au collège ou au travail. En plus d'une mécanique bien dessinée de jeu, ces valeurs disposaient de l'attrait d'avoir les personnages créés par Akira Toriyama, qui s'éclaircissait avec “Dragon Ball” dans l'époque dans lequel est sorti le premier jeu.

En plus d'aux protagonistes, il a dessiné la majorité des ennemis. Entre ceux-ci l'icónico se trouve et “slime” simple, qui apparaît dans toutes les remises, a joué le rôle principal dans deux spin-offs, et qu'est "devenu" même un commandement pour PlayStation 2 :

Le fait qu'il a rendu tous les masques Toriyama il a aussi aidé aux ventes, et c'est que son style propre est assez reconnaissable :

Tout de suite, la neuvième remise pour Nintendo DS continue de s'éclaircir dans le pays nippon, et les fans de la saga se mordent les ongles pour qu'arrive la version correspondante occidentale cet été.

Chrono Trigger

Dans la création de ce titre, ont uni des forces certains des meilleurs dessinateurs et des programmeurs japonais, et le résultat de cette synergie a été l'un des jeux les plus voulus par les fans des jeux de rôle de 16 bits. Et c'est que “Chrono Trigger“ avait des fins multiples, une bande sonore hallucinante, une histoire atypique, une ambiance extraordinaire, et quelques personnages mémorables. Bien que Toriyama recourût à certains de ses clichés les plus connus - un protagoniste avec les “cheveux a crevé”, une fille avec les cheveux violets, une fille avec “queue et des cheveux libres”, … - les personnages qui apparaissent dans “Chrono Trigger“ ont quelque chose qui les rend spéciaux.

Le jeu a disposé d'un intro animé dans son port à PlayStation, de dessins responsable Bird Studio - dans lequel travaillent basiquement Toriyama et quelques assistants - et une animation de Toei :

Comme une donnée curieuse, le jeu est officiellement arrivé en Espagne il fait un peu plus d'un an dans sa transformation pour Nintendo DS, et Ubi Soft “a eu le détail” de nous l'apporter en anglais. Le résultat : une catastrophe dans des ventes.

Tobal

“ Tobal No. 1 ”a été la première incursion de SquareSoft dans PlayStation, et la main de Toriyama, et à une mécanique de jeu intéressant, il leur n'a pas été pas tout à fait mal. Le plus amusé du titre était la manière il risque, qu'il mélangeait des coups de lutte et de rôle d'une forme très intelligente, et dans que nous pouvions finalement nous opposer au même Toriyama dans sa version à une robotique

La séquelle n'est pas sortie du Japon, et il était plus grand sous tous les rapports, puisqu'il disposait de 200 personnages, quelques manières il risque, et un alinéa technique plus lampant.

Blue Dragon

Après avoir travaillé presque exclusivement pour Bandai et Square Enix, Toriyama a collaboré avec Microsoft pour essayer de donner un ballon d'oxygène à Xbox 360 au Japon. Le résultat a été “Blue Dragon“, un RPG assez amusant qui disposait des dessins de cet artiste japonais.

Le titre a eu un accueil assez bon de la part du public et de la critique, ce qu'il a fait que la franchise a donné le saut à la manche et à l'anime, et que même il a eu deux remises dans Nintendo DS.

Des conclusions

Comme nous avons vu, Akira Toriyama est pas seulement synonyme de “Dragon Ball“, mais son style propre s'est permis de voir à d'autres travaux, tous assez connus, comme “Chrono Trigger“ ou, surtout, “Dragon Quest“. Bien qu'a l'habitude de me plaire son travail, j'ai à reconnaître qu'il a l'habitude d'abuser des certains clichés, et que plusieurs de ses personnages se ressemblent trop. Cependant, cela n'enlève pas que le sens de l'humour propre qu'il imprègne à toute son oeuvre toujours arrache un sourire.

Et à vous: quoi est-ce que vous Toriyama semble ? Avez-vous aussi fini fatigués de “Dragon Ball“ ? Traficábais avec photocopies de ses dessins dans le collège ?